Acclamé pour ses adaptations au Théâtre du Lenkom et Théâtre sur Malaïa Bronnaïa, il s'est vu à la fin de sa vie entrainé dans le conflit à connotation politique, en acceptant de prendre le poste de Iouri Lioubimov au Théâtre de la Taganka, après que ce dernier ait été déchu de sa citoyenneté soviétique à la suite de l'interview accordée au Times en 1984. Efros a été accusé de traitrise par son prédécesseur et a subi l'ostracisme au sein de sa troupe[2].