Questeur du Sénat à partir de 1935, il vote les pleins pouvoirs au maréchal Pétain en 1940 et participe aux réunions de bureau du Sénat jusqu'en 1942. Lors de la dissolution des chambres par Pierre Laval en 1942, il se désolidarise de la protestation des présidents des assemblées, ce qui lui vaut une condamnation à l'indignité nationale à vie en 1945.
Hommages
La ville de Cholet a dédié une avenue à son nom[2].