Revenu en France, il a été grièvement blessé à la tête pendant la campagne de 1814, à la bataille de Fère-Champenoise. Parvenu au grade de capitaine, il a été obligé de quitter le service, déjà membre de la légion d’honneur[1].
Après la révolution de 1830, il a été nommé sous-préfet à Largentière. En congé à Paris, pour raisons de santé, en 1832, il y a succombé[1].
Publications
Promenade de Paris à l’ancien château royal du Jard, berceau de Philippe-Auguste : avec des notes historiques et instructives sur tous les villages, édifices, châteaux, forteresses, etc. qui se trouvent sur cette route, Paris, Dufriche, , xi, 211, in-12 (OCLC10994908, lire en ligne sur Gallica).
Lettres d’un voyageur à l’embouchure de la Seine : contenant des détails historiques, anecdotiques et statistiques sur les contrées de la Normandie connues sous le nom de pays de Caux, de Lieuvin et de Roumois, dans les départemens de la Seine-Inférieure, du Calvados et de l’Eure, Paris, Guibert, , iv-280, in-8° (OCLC1254639540, lire en ligne sur Gallica).
Notes et références
↑ ab et cAlphonse Rabbe, Claude-Augustin Vieilh de Boisjolin et Charles Claude Binet de Sainte-Preuve, Biographie universelle et portative des contemporains : ou Dictionnaire historique des hommes vivants et des hommes morts depuis 1788 jusqu'à nos jours, qui se sont fait remarquer… par leurs écrits, leurs actions, leurs talents, leurs vertus ou leurs crimes…, t. 4, Paris, François-Georges Levrault, , 1639 p., 5 vol. 21 cm (OCLC7107711, lire en ligne), p. 1203.