Aymeri V (v. 1293[2]-1336), vicomte de Narbonne de 1328 à 1336 ; marié (1309) à Catherine de Poitiers, puis (1321) à Tiburge, héritière de Puisserguier, d'abord promise à son frère Guillaume ;
Guillaume, seigneur de Montagnac ; d'abord fiancé le à Tiburge, héritière de Puisserguier, qui est enlevée et mariée par son frère Aymeri en 1321, puis épouse Gaillarde de Lévis ;
Gaucerande, épouse, par contrat du 25 janvier 1303, Garin de Châteauneuf, seigneur d'Apchier (ou Apcher), puis le 29 octobre 1317 Jaspert V, vicomte de Castelnou ;
Constance, née v. 1310[3], épouse (1329) Arnaud de Trian, seigneur de Castelnau de Montmirail et de Tallard, neveu du pape Jean XXII (1316-1334) et maréchal de la cour romaine ;
Bibliographie
Jean Régné, Amauri II, vicomte de Narbonne (1260?-1328) : sa jeunesse et ses expéditions, son gouvernement, son administration, thèse de l'École des chartes, publiée dans une série de six d'articles dans le Bulletin de la Commission archéologique de Narbonne :
Jean Régné, « Amauri II, vicomte de Narbonne (1260?-1328) : sa jeunesse et ses expéditions, son gouvernement, son administration : 1re partie », Bulletin de la Commission archéologique de Narbonne, vol. 10, , p. 37-130 (lire en ligne)
Jean Régné, « Amauri II, vicomte de Narbonne (1260?-1328) : sa jeunesse et ses expéditions, son gouvernement, son administration : 2e partie », Bulletin de la Commission archéologique de Narbonne, vol. 10, , p. 189-279 (lire en ligne)
Jean Régné, « Amauri II, vicomte de Narbonne (1260?-1328) : sa jeunesse et ses expéditions, son gouvernement, son administration : 3e partie », Bulletin de la Commission archéologique de Narbonne, vol. 10, , p. 367-465 (lire en ligne)
Jean Régné, « Amauri II, vicomte de Narbonne (1260?-1328) : sa jeunesse et ses expéditions, son gouvernement, son administration : 4e partie », Bulletin de la Commission archéologique de Narbonne, vol. 10, , p. 521-586 (lire en ligne)
Jean Régné, « Amauri II, vicomte de Narbonne (1260?-1328) : sa jeunesse et ses expéditions, son gouvernement, son administration : pièces justificatives », Bulletin de la Commission archéologique de Narbonne, vol. 11, , p. 47-130 (lire en ligne)
Jean Régné, « Amauri II, vicomte de Narbonne (1260?-1328) : sa jeunesse et ses expéditions, son gouvernement, son administration : index et table des matières », Bulletin de la Commission archéologique de Narbonne, vol. 11, , p. 301-363 (lire en ligne)
[Histoire générale du Languedoc, t. 10] Claude Devic, Joseph Vaissète, Ernest Roschach et al., Histoire générale de Languedoc, t. 10 : 1271-1443 (notes et preuves), Toulouse, Privat, , 3e éd. (1re éd. 1730-1745) (lire en ligne)
Pierre-Vincent Claverie, « Grandeur et décadence de la communauté narbonnaise de Chypre au Moyen Âge », Επετηρίδα του Κέντρου Επιστημονικών Ερευνών, vol. 39, 2016-2018, p. 9-127 (lire en ligne).
Hélène de Tarde, « Le Pariage du 7 avril 1309 », dans Narbonne, archéologie et histoire : 45e Congrès de la Fédération historique du Languedoc méditerranéen et du Roussillon, Narbonne, 14-16 avril 1972, vol. 2, Montpellier, 1973, p. 77-83. (pariage entre Amalric II et le roi Philippe IV le Bel)
(it) Matteo Ferrari, Riccardo Rao et Pierluigi Terenzi, « Rappresentazioni del potere angioino nell’Italia comunale: sovrani, ufficiali, città », dans Thierry Pécout (éd.), Les officiers et la chose publique dans les territoires angevins (xiiie-xve siècle) : vers une culture politique ?, Rome, Publications de l’École française de Rome, (ISBN978-2-7283-1444-7, DOI10.4000/books.efr.7110, lire en ligne).
(it) Raffaele Taucci, « Guglielmo di Durfort e la battaglia di Campaldino », Studi Storici dell'Ordine dei Servi di Maria, vol. 1, no 2, , p. 93-108.
↑Jacqueline Caille, « Les Ordres mendiants à Narbonne des origines à la fin du Moyen Âge », dans Sophie Cassagnes-Brouquet et Agnès Dubreil-Arcin (dir.), Le Ciel sur cette terre : Dévotions, Église et religion au Moyen Âge : mélanges Michelle Fournie, Toulouse, Presses universitaires du Midi, (DOI10.4000/books.pumi.41721, lire en ligne).
↑Un acte juridique du déclare le futur Aymeri V majeur de seize ans (Régné 1908, p. 456)
↑Constance de Narbonne est dite majeure de douze ans dans un acte juridique du (Régné 1908, p. 464)