Aline Zomo-Bem est née en France de parents camerounais originaires de Zoétélé[1]. Elle est la fille ainée d'Abel Zomo-Bem, un ancien journaliste camerounais qui a travaillé pour la CRTV[2],[3],[4],[5]. Elle arrête ses études tôt et se forme sur le tas.
Carrière
À son installation en France, elle commence par faire des ménages.
D'abord présente sur les salles et les plateaux de télévision comme la CRTV, Aline Zomo-Bem se lance dans l'écriture, souvent publiée chez Edilivre, en devenant auteure de plusieurs ouvrages[6],[7],[8],[9].
De son ouvrage L'Enfant de ma mère m'a violée paru en février 2013, elle dit[10]:
« Mon désir d'en parler vient de ma volonté de donner le courage à toutes ces femmes violées de dénoncer leur violeur. »
« Je porte aussi le message d'une immigration qui en a marre des clichés et des boulots de merde. Je fais partie de cette génération d'immigrés qui ont décidé de briser le silence et de soigner leurs blessures grâce à l’écriture. Des ménages à l'écriture, ça été long, mais j'y suis parvenue par la force de mon courage et mon audace. »
En 2022, durant la CAN, elle est accusée d'être une des influenceuses prise en charge par l'état du Cameroun[5],[11].
Œuvres
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↑Hilaire Sikounmo, Sur les Traces d'une vie en demi-teinte: Œuvre-mémoire d’un enseignant camerounais, Editions Edilivre, (ISBN978-2-332-50016-8, lire en ligne)