Aleph (album de Gesaffelstein)Aleph
Albums de Gesaffelstein Aleph est le premier album studio de musicien français Gesaffelstein, sorti le chez Bromance records et sur Parlophone[1]. Gesaffelstein a commencé à l'enregistrer en 2011[2] et, tout en y travaillant, il a gagné en popularité en tant qu'un des producteurs derrière Yeezus de Kanye West (2013) [3]. Deux singles sont sortis pour promouvoir Aleph : Pursuit et Hate or Glory. L'album a reçu des critiques positives de la part des critiques musicaux PromotionAvant la sortie d'Aleph, deux singles ont été publiés pour promouvoir l'album. Le premier, Pursuit, a été publié le [4], accompagné d'un clip vidéo[5],[6]. Spin l'a nommé l'un des meilleurs clips de musique de 2013[7]. Le deuxième single, Hate or Glory, est sorti le [7], aussi accompagné d'un clip vidéo[8]. SortieEn , l'album était disponible en pré-commande [9]. L'emballage de l'album a également été montré. Semblable à Yeezus de Kanye West, la sortie physique ne comporte aucune pochette d'album; le disque d'or de l'album est placé à l'intérieur d'un écrin de CD vide couvert de fines lignes blanches ressemblant à un circuit imprimé[10], avec une lettre hébraïque blanche Aleph (א) au centre[10]. CritiqueAleph a reçu un accueil favorable de la part des critiques. En écrivant pour Pitchfork, Jamieson Cox fait l'éloge de l'album et le compare à Yeezus de Kanye West en termes de « cohérence thématique », tout en citant le manque de concision de l'album comme sa principale faiblesse[10]. Derek Staples, de Consequence of Sound, souligne que son album est « déterminé à insuffler un chaos dancefloor composé de mélodies feutrées, de voix percutantes et de lignes de basse isolées et minimales » et affirme que Gesaffelstein « fortifie les bases d'une carrière très réussie »[11]. David Renshaw du magazine NME estime qu'une grande partie de l'album présente « une froideur d'acier inoxydable » et qu'il « fonctionne »[12]. Dans le Los Angeles Times, August Brown qualifie l'album de Gesaffelstein révolutionnaire et « une dure réaction aux tons disco lissés qui ont dominé la radio et les clubs traditionnels ces derniers temps »[13]. Reef Younis, dans sa critique du magazine Clash, attribue une note de 8/10 à l’album et écrit : « Du bourdonnement de Out Of Line à l’électro tordue de Trans, le rythme frappe avec une force mécanique foudroyante »[3]. Liste des pistes
Notes et références
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