Commençant son travail artistique en 1976, après la mort du général Franco, Alberto García-Alix est considéré à partir des années 1980 comme l'un des principaux acteurs du mouvement culturel de la Movida, bien qu'il s'en défende et se présente comme un photographe marginal : des milieux underground de la nuit, du rock'n'roll, des bikers, des toxicomanes, des stars du porno[1].
Depuis quelques années, il réalise également des vidéos.
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- , il expose sa série photographique "faux horizons" à la maison Européenne de la photographie a Paris
2007, Les Rencontres d'Arles, France. Exposition et projection au Théâtre Antique.
Musée Reina Sofía, Madrid, À l'occasion de la sortie de son premier film "De donde no se vuelve", le musée organise une rétrospective de son œuvre des années 1980 à nos jours
↑« J'ai eu le sentiment de vivre la movida en première ligne mais je ne l'ai jamais photographiée. Je n'avais pas cette intention. Je me contentais de photographier à l'instinct mon entourage, qui était plus celui de l'underground. » Alberto García-Alix, cité par Le Figaro 5 juillet 2007