L'espèce a d'abord été considérée comme endémique du Cameroun où elle a été observée à Nkolbisson près de Yaoundé (région du Centre) ; sur l'île de Dipikar, à Bipindi (d'après G.P. Tchouto Mbatchou[3]) et au piton rocheux d'Ako'Akas (région du Sud)[4].
Par la suite elle a été découverte également en Guinée équatoriale, sur l'inselberg de Piedra Nzas dans la Région continentale (Río Muni[5]).
D'« espèce en danger » (EN), elle a été réévaluée en « espèce vulnérable » (VU), selon les critères de l'UICN[5].
↑G.P. Tchouto Mbatchou, Plant Diversity in a Central African Rain Forest. Implications for biodiversity conservation in Cameroon, Université de Wageningen, 2004
↑(en) Jean-Michel Onana et Martin Cheek, « Albertisia glabra (Troupin) Forman », in Red Data Book of the Flowering Plants of Cameroon: IUCN Global Assessments, Royal Botanic Gardens, Kew, 2011, p. 224 (ISBN9781842464298)
(en) Jean-Michel Onana et Martin Cheek, « Albertisia glabra (Troupin) Forman », in Red Data Book of the Flowering Plants of Cameroon: IUCN Global Assessments, Royal Botanic Gardens, Kew, 2011, p. 224 (ISBN9781842464298)
(en) G. Troupin, Monographie des Menispermaceae africaines, Académie Royale des Sciences d'Outre-Mer, Classe des sciences naturelles et médicales mémoires, 13, 1962, p. 1-313