Albert Maltz se fait d'abord connaître à Broadway comme dramaturge avant de s'installer à Hollywood en 1942. Politiquement très engagé à gauche, Maltz fit partie des Dix d'Hollywood qui furent victimes du maccarthysme. Après La Cité sans voiles (The Naked City), de Jules Dassin en 1948, son nom disparaît des génériques jusqu'en 1970, année de la sortie de Sierra torride (Two Mules for Sister Sara), de Don Siegel.