En 1886, il est le témoin d'Édouard Drumont pendant le duel qui l'oppose à Arthur Meyer, à l'occasion de la publication de La France juive. Au cours de ce duel, Albert Duruy doit reprendre à deux fois Meyer qui saisissait l'épée de Drumont de la main gauche, ce qui est prohibé[2].
Il est le premier titulaire du cours de littérature dispensé en Sorbonne à l'attention des jeunes filles.
Publications
Les Nouveaux Robinsons : aventures extraordinaires de deux enfants qui cherchent leur mère, avec Eugénie Foa, 1865 ;
Comment les empires reviennent, 1875 ;
La liberté d'enseignement et les projets de M. Jules Ferry, 1879 ;
L'Article Sept et la liberté d'enseignement devant le Sénat, 1880 ;
L'Instruction publique et la Révolution, Prix Montyon de littérature, 1882 ;
Hoche et Marceau, 1885 ;
L'instruction publique et la démocratie 1879-1886, 1886 ;
Le brigadier Muscar, 1886 ;
L'Armée royale en 1789, 1888 ;
Études d'histoire militaire sur la révolution et l'empire, 1889
Souvenirs de campagne et de captivité, six semaines aux tirailleurs algériens ;
Notes et références
↑Jean-Charles Geslot, Victor Duruy: historien et ministre (1811-1894), 2009