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Akram Zaatari (en arabe : أكرم الزعتري) (né en 1966 à Saida, Liban) est un vidéaste, photographe, artiste et curateur. En 1997, il cofonda la Fondation arabe pour l’image avec les photographes Fouad Elkoury et Samer Mohdad[1]. Sa pratique est largement basée sur la collecte, l’étude et l’archivage de l’histoire photographique du monde arabe[2].
Œuvre
Akram Zaatari explore des problématiques issues de la situation du Liban d’après-guerre. Il examine la manière dont la télévision relaye les conflits et guerres et est particulièrement intéressé par la logique des mouvements de résistance et les fondamentalismes religieux dans le contexte des divisions actuelles du Moyen-Orient[3]. Son travail a été montré à travers le monde lors de biennales, dans des institutions telles que le Centre Pompidou[4] et il figure dans les collections permanente de musées comme la Tate Modern[5] et le MoMA[6].
À partir de 1999, Zaatari entreprit une collaboration avec Hashem El Madani, un photographe de Saida, qui à partir de son studio nommé Shéhérazade, produisit des milliers de portraits mettant en scène des habitants de la région. Dans ce contexte, il publia plusieurs ouvrages, réalisa des films et mis en scène des expositions où s’entremêlent la recherche historique et sociologique et la pratique artistique[8].
Against Photography
Dans les années qui ont suivi, Zaatari s'est intéressé aux questions de conservation et de circulation de l'image. Se basant sur des exemples tirés de la collection de la Fondation arabe pour l'image, il a exploré des problématiques telles que les photographies mal prises, car y figuraient l'ombre du photographe, la détérioration des clichés et la photographie archéologique. Against Photography. An Annotated History of the Arab Image Foundation fut exposé dans plusieurs musées notamment le MACBA, Barcelone et le Kunstsammlung Nordrhein-Westfalen, Düsseldorf[9].