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Akli Ait Abdallah Pour les articles homonymes, voir Abdallah. Akli Ait Abdallah .jpg)
Akli Ait Abdallah ou Akli Aït Abdallah est un journaliste et reporter algéro canadien à ICI Radio-Canada Première. BiographieIl quitte l'Algérie en 1990 durant la guerre civile algérienne[1] et après avoir été journaliste à l'hebdomadaire Algérie-Actualité[2]. Durant sept années, il est d'abord recherchiste dans l'émission Signe des temps et Les Actualités [3], puis en , reporter à l'émission à Dimanche Magazine[3] et Sans frontières de ICI Radio-Canada Première[1] et il travaille avec l'équipe de Désautels[2]. à l’émission Signe des temps, puis à l’émission Les Actualités. Il est devenu reporter en 1999 pour Dimanche Magazine, Sans frontières et le service des nouvelles. En , Akli Ait Abdallah s'est rendu en Syrie pour couvrir les funérailles du président Hafez el-Assad[1]. Ensuite, il passe la frontière syrienne pour se rendre en Égypte, en Israël, au Liban, en Jordanie ainsi que les territoires palestiniens durant les attentats du 11 septembre 2001[1]. Entre les mois d’ et , Il entreprend une mission vers l'Irak avant la Guerre d'Irak, dès que la guerre se déclenche, Akli Ait Abdallah s’en va vers la Jordanie pour rapporter les événements[1]. Il se dirige ensuite vers les territoires palestiniens et puis il couvre la révolution orange en Ukraine et en , les funérailles du pape Jean-Paul II[1]. Lors du tremblement de terre en qui a secoué le Pakistan, Akli Ait Abdallah s'est déplacé pour faire la couverture[1]. Pendant les émeutes des banlieues en France, il est envoyé pour faire un reportage[1]. En 2008, il reçoit le prix du Journalisme des Radios francophones publiques (RFP) pour son reportage dont le titre est Le Peuple inuit[4]. En 2010, il est envoyé durant le séisme à Haïti en et par la suite, il part pour rapporter les événements du Printemps arabe dans plusieurs pays, la Tunisie, l'Égypte, la Syrie et la Libye[4]. En 2014, catégorie Choix du public, pour le reportage Janie, il obtient le prix de Journalisme des Radios francophones publiques[5]. Il a pris sa retraite en 2022[6]. Notes et références
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