Correctrice et éditrice pigiste pour diverses maisons d’éditions québécoises[1], Aimée Verret a complété une maîtrise en étude littéraire à l’UQAM[2]. Encouragée par ses proches à suivre la voie de l'écriture, elle sait qu'elle veut écrire dès un jeune âge[3].
Outre la littérature comme passion, Aimée Verret pratique la danse depuis près de dix ans[4].
Œuvre
Poète, écrivaine et blogeuse, Aimée Verret est l’auteure de quatre romans jeunesse publiés chez les Éditions de Mortagne[4] et de trois recueils de poésie. Les deux premiers recueils sont publiés chez les Éditions Triptyque et le dernier chez les Éditions Del Busso. Elle contribue également à diverses revues littéraires en plus de tenir un blog de « chialage intellectuel[5] ».
Romans jeunesse
2013 : Inséparables, Éditions de Mortagne
2015 : Comme deux gouttes d’eau, Éditions de Mortagne
2017 : C’est la fin du monde !, Éditions de Mortagne
2009 : « Pas une question de doigts », Revue Mœbius, Masturbatorium, numéro 122, p. 73-78[9].
2009 : «Téléthons de la Grande Surface, poésie énumérative Téléthons de la Grande Surface. Inventaire catégorique de Marc-Antoine K. Phaneuf. Le Quartanier, 188 p.», Revue Spirale, Est-ce poétique?, numéro 224, p. 35-36[10].
2010 : « Entrevue avec Chloé Sainte-Marie », Revue Frontières, Résilience et deuil, volume 22, numéro 1-2, p. 123-124[11].
2014 : « Jean-Pierre Ronfard, Le Titanic », Revue Mœbius, Territoires, numéro 143, p. 137-144[12].
↑Verret, A. (2009). Pas une question de doigts. Moebius, (122), 73–78.
↑Verret, A. (2009). Téléthons de la Grande Surface, poésie énumérative / Téléthons de la Grande Surface. Inventaire catégorique de Marc-Antoine K. Phaneuf. Le Quartanier, 188 p. Spirale, (224), 35–36.
↑Verret, A. (2009). Entrevue avec Chloé Sainte-Marie. Frontières, 22 (1-2), 123–124. https://doi-org.proxy3.library.mcgill.ca/10.7202/045037ar
↑Verret, A. (2014). Jean-Pierre Ronfard : Le Titanic. Moebius, (143), 137–144.