À l'indépendance de l'Algérie, il assure, après un cycle de formation effectué en URSS et en France, successivement, les fonctions de chef d'état-major au niveau de Régions Militaires, commandant de brigade blindée, commandant adjoint de Région Militaire, directeur central de la logistique. Puis du matériel et des fabrications militaires. Entre-temps, il aura participé à la guerre israélo-arabe de 1973, commandant sur le front une brigade blindée.
Promu au grade de général en 1984, il est nommé, en 1985, Commandant des Forces aériennes, fonction qu'il cumule à partir de 1987 avec celle d'adjoint au chef d'état-major de l'Armée nationale populaire jusqu'en 1990, date à laquelle il est nommé chef d'état-major. Sa promotion au grade de général-major intervient en 1991[3].
En 1993, après trois années passées à la tête de l'état-major de l'armée nationale populaire, il fait valoir ses droits à la retraite et entame une carrière diplomatique avec sa nomination en qualité d'ambassadeur auprès de la Confédération suisse, à Berne, où il reste en poste jusqu'en 2000[4].
Le , il est nommé au poste de ministre délégué auprès du ministre de la Défense nationale jusqu'en 2013[5].
Au niveau international, il est titulaire de l'étoile militaire et de la médaille commémorative, décernées à l'issue de la Guerre du Kippour par le président de la République arabe d'Égypte.