Alors que le bus transportant l'équipe du Togo venait de franchir la frontière entre le Congo et l'exclave angolaise de Cabinda, il a essuyé des tirs d'arme à feu. Le bus passant en premier qui transportait les bagages a subi le mitraillage le plus violent, tuant deux membres de l'encadrement. Le bus transportant les joueurs a également essuyé des tirs, blessant 2 joueurs, Serge Akakpo, touché au dos et le gardien de but Kodjovi Dodji Obilalé touché plus gravement à un rein et 7 membres de l'encadrement, dont deux, le chargé de communication Stanislas Ocloo et l'entraîneur adjoint Amélété Abalo, sont morts de leurs blessures.
Cette attaque a été revendiquée par les Forces de Libération de l'État du Cabinda/Position Militaire, un mouvement armé se battant pour l'indépendance du Cabinda.
À la suite de la demande de son gouvernement, elle décide de renoncer à la compétition et de rentrer au pays[6].
↑Le Togo a dû jouer ses matchs à Accra, au Ghana, en raison des violences survenues chez eux après le match face au Mali lors des éliminatoires de la CAN 2008.
↑Le match était initialement prévu le , mais fut annulé à la demande de la Zambie, à ce moment-là en deuil national après la mort du président Levy Mwanawasa[3].
↑Le Togo doit une nouvelle fois jouer ses matchs à Accra, au Ghana, en raison des violences survenues chez eux après le match face au Mali lors des éliminatoires de la CAN 2008.