Le texte ne doit pas être écrit en capitales (les noms de famille non plus), ni en gras, ni en italique, ni en « petit »…
Le gras n'est utilisé que pour surligner le titre de l'article dans l'introduction, une seule fois.
L'italique est rarement utilisé : mots en langue étrangère, titres d'œuvres, noms de bateaux, etc.
Les citations ne sont pas en italique mais en corps de texte normal. Elles sont entourées par des guillemets français : « et ».
Les listes à puces sont à éviter, des paragraphes rédigés étant largement préférés. Les tableaux sont à réserver à la présentation de données structurées (résultats, etc.).
Les appels de note de bas de page (petits chiffres en exposant, introduits par l'outil « Source ») sont à placer entre la fin de phrase et le point final[comme ça].
Les liens internes (vers d'autres articles de Wikipédia) sont à choisir avec parcimonie. Créez des liens vers des articles approfondissant le sujet. Les termes génériques sans rapport avec le sujet sont à éviter, ainsi que les répétitions de liens vers un même terme.
Les liens externes sont à placer uniquement dans une section « Liens externes », à la fin de l'article. Ces liens sont à choisir avec parcimonie suivant les règles définies. Si un lien sert de source à l'article, son insertion dans le texte est à faire par les notes de bas de page.
Les élections communales de 2018 à Seraing se sont déroulées le 14 octobre 2018. Elles sont marquées par l’affrontement entre le PS et le PTB[1]
Contexte
Forces en présence
PS
Alain Mathot, bourgmestre socialiste de la ville, décide de ne pas se représenter au mayorat[2] en raison de son implication dans une affaire judiciaire[3]. La section locale choisit d’abord comme tête de liste Laura Crapanzano[4], avant de finalement désigner Francis Bekaert, président du CPAS[5].
PTB
Le PTB, comme en 2012, choisit Damien Robert comme tête de liste[6].
MR
Les libéraux désignent Fabian Culot[7] pour mener le parti, et ouvrent leur liste, pareillement à 2012, à des dissidents du Centre démocrate humaniste[8].
DéFI investit l’ancien président du cdH de Seraing, Gwenaël Sancinato[10]
cdH
La défection de son ancien président provoque de fortes dissensions au sein du cdH[11]. Les chrétiens-démocrates présentent finalement une liste incomplète[12] menée par Agnès Krawcyck[13].
Campagne
La campagne est dominée par la confrontation entre le PS et le PTB, dont l’objectif de ce dernier est de renverser la majorité absolue détenue par les socialistes[14]. La rivalité dérape quand Alain Mathot bouscule Damien Robert au terme d’un débat consacré à l’élection par la RTBF[15],[16].
Le cdH provoque une polémique en distribuant des tracts faisant référence au Renouveau charismatique catholique[17].
Sondage
La Meuse réalise, un an avant le scrutin, un sondage qui donne le PTB vainqueur des élections, devant le PS[18].
Le journal réitère l’exercice six mois plus tard, avec les mêmes résultats[19].
Résultats
Le PS conserve sa majorité absolue, bien qu’en forte baisse[20]. Le cdH perd son seul élu communal.