Écologie de guerreL'expression « écologie de guerre » s'est démocratisée en 2022 après l'invasion de l'Ukraine par la Russie qui a conduit à une crise énergétique notamment sur le gaz produit par la Russie et dont l'Europe est très dépendante[1]. En réponse à ce risque, l'écologie de guerre consiste à réduire la consommation d'énergie et à développer les énergies alternatives pour limiter la dépendance géopolitique de l'Europe à la Russie[2],[3],[4] Pierre Charbonnier, philosophe, chargé de recherche au CNRS, rattaché au CEE de Sciences Po décrit l'expression « écologie de guerre » comme « un modèle qui intègre la transition énergétique à une politique de sécurité internationale, qui mêle le langage géopolitique et environnemental – au risque de militariser l’écologie. »[4],[5],[6]. Voir aussi
Sources et références
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