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L'école néoplatonicienne d'Apamée (au nord de la Syrie) est orientée vers la théurgie (la magie divine). Olympiodore le Jeune oppose chez les néoplatoniciens les contemplatifs aux théurgistes : « Beaucoup, comme Porphyre et Plotin, préfèrent la philosophie, d'autres, comme Jamblique, Syrianos et Proclos, préfèrent la théurgie (ιερατική) »[1].
Représentants
Les principaux de cette école représentants sont
Amelius (268 ; disciple de Plotin en 246, maître de Jamblique)
↑In Platonis Phaedonem [vers 550], éd. W. Norvin, 123.3
Voir aussi
Bibliographie
Textes
Jamblique de Chalcis, Les Mystères d'Égypte (Réponse d'Abammon à la Lettre de Porphyre à Anébon) (vers 320), éd. et tr. Édouard des Places (1966), 3e tirage revu et corrigé. Paris, Les Belles Lettres, "Collection des Universités de France", 1996, 401 p. (ISBN2-251-00176-X). Une réponse aux doutes exprimés par Porphyre (Lettre à Anébon) (vers 265 ?), qui se présentait comme Abammon. Porte sur la théurgie, l'efficacité des sacrifices, la nature des anges et des génies, etc. L'auteur de cette œuvre a signé sous un pseudonyme, mais Proclos l'attribue à Jamblique.
Eunape de Sardes, Vies de philosophes et de sophistes (vers 395), trad. Olivier D'Jeranian, Éditions Manucius, 2009, 187 p.
Études
Joseph Bidez, « Le philosophe Jamblique et son école », Revue des Études Grecques, vol. 32, nos 146-150, , p. 29-40 (lire en ligne)
(en) Riccardo Chiaradonna et Adrien Lecerf, « Iamblichus », sur plato.stanford.edu, (consulté le ), v. 2.4 Iamblichus’ posterity
Richard Goulet, Dictionnaire des philosophes antiques, Paris, Éditions du CNRS, neuf volumes, 1989-2018.
(en) Christian Wildberg, « Neoplatonism », sur plato.stanford.edu, (consulté le )