Sonate pour piano no 16 de Mozart
Sonata semplice
La Sonate pour piano no 16 en do majeur, K. 545, de Wolfgang Amadeus Mozart est l’une de ses sonates pour piano les plus célèbres. Elle est surnommée Sonata facile ou Sonata semplice. Mozart a inscrit l'œuvre à son catalogue le , en même temps que sa Symphonie no 39. Les circonstances exactes de la composition sont cependant inconnues. Bien que très connue, la pièce n'a pas été publiée du vivant de Mozart. La première impression est apparue en 1805. L'autographe a disparu. AnalyseLa sonate se compose de trois mouvements :
La durée de l'interprétation est d'environ 14 minutes. AllegroIntroduction de l'Allegro : Le premier mouvement, Allegro, avec des basses d’Alberti en croche et la mélodie fait do/mi/sol/si/do ré do. Le deuxième sujet, en sol fait ré/si/sol/la si la sol la sol la sol fa dièse. Reprise du premier sujet sur la sous-dominante. AndanteIntroduction de l'Andante : Le deuxième mouvement, andante en sol, utilise toute l'étendue de la basse d'Alberti possible, jamais Mozart n'a[non neutre] si bien fait couler cette basse[Quoi ?]. Le premier sujet est en sol, le deuxième en ré et le dernier en sol mineur ; le génie de Mozart se dévoile à son meilleur[non neutre] dans ce troisième sujet. Le retour vers la tonique nous montre quelques nouvelles mélodies envoutantes[non neutre]. RondoIntroduction du Rondo - Allegretto : Le dernier mouvement en do, un vif rondo avec des tierces staccato et de très étranges modulations[Quoi ?] mineures lors de la partie b. ArrangementsEn 1876–1877 Edvard Grieg a arrangé cette sonate pour deux pianos, en ajoutant un accompagnement supplémentaire sur la deuxième partie de piano, tandis que la première partie de piano joue l'original tel que Mozart l'a écrit. En essayant de « donner à plusieurs des sonates de Mozart un effet tonal attrayant pour nos oreilles modernes », Grieg a laissé un ou deux petits documents révélateurs sur ce à quoi s'attendaient ces oreilles norvégiennes de la fin du XIXe siècle. Un enregistrement notable est celui de Elisabeth Leonskaja accompagné par Sviatoslav Richter (1996)[1]. Notes et références
Bibliographie
Liens externes
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