Si vous disposez d'ouvrages ou d'articles de référence ou si vous connaissez des sites web de qualité traitant du thème abordé ici, merci de compléter l'article en donnant les références utiles à sa vérifiabilité et en les liant à la section « Notes et références ».
Le texte ne doit pas être écrit en capitales (les noms de famille non plus), ni en gras, ni en italique, ni en « petit »…
Le gras n'est utilisé que pour surligner le titre de l'article dans l'introduction, une seule fois.
L'italique est rarement utilisé : mots en langue étrangère, titres d'œuvres, noms de bateaux, etc.
Les citations ne sont pas en italique mais en corps de texte normal. Elles sont entourées par des guillemets français : « et ».
Les listes à puces sont à éviter, des paragraphes rédigés étant largement préférés. Les tableaux sont à réserver à la présentation de données structurées (résultats, etc.).
Les appels de note de bas de page (petits chiffres en exposant, introduits par l'outil « Source ») sont à placer entre la fin de phrase et le point final[comme ça].
Les liens internes (vers d'autres articles de Wikipédia) sont à choisir avec parcimonie. Créez des liens vers des articles approfondissant le sujet. Les termes génériques sans rapport avec le sujet sont à éviter, ainsi que les répétitions de liens vers un même terme.
Les liens externes sont à placer uniquement dans une section « Liens externes », à la fin de l'article. Ces liens sont à choisir avec parcimonie suivant les règles définies. Si un lien sert de source à l'article, son insertion dans le texte est à faire par les notes de bas de page.
Le nom Mfandena |mfandəna| doit son origine aux Emɔmbɔ[1]. D'après la tradition orale, ils devaient se reloger pour des besoins administratifs pendant la période coloniale. Vu leur importance numérique, ils trouvèrent ces endroits insignifiants. Ils appelèrent ces lieux |mfandəna| pour dire « étriqué, petitesse ».
Historique
Mfandena I et Mfandena II[2] sont un ensemble de hameaux peuplés depuis la période coloniale au Cameroun. Ils sont délimités par les rivières Mfoundi, Tongolo et Ebogo et le cours d'eau Minlo « les têtes », où le chef Emombo Edzoa Mbédé, jetait les têtes décapitées des récalcitrants à l'autorité. Mfandena I fait référence à Elig Edzoa Mbédé ou encore Elig Ahanda Mvogo tandis que Mfandena II rappelle entre autres Nkol Esong, Afan Meyong Ndzengue, Mful Ayéné.
Population
Le peuple Emombo est considéré comme autochtone. On y retrouve une population extrêmement cosmopolite avec diverses représentations religieuses.
↑Jean Patrick Mfoulou Olugu, Forme urbaine et mobilité durable à Yaoundé, Saarbrücken, Éditions universitaires européennes, , 229 p. (ISBN978-3-659-55904-4)
Jean-Marie Essono, Yaoundé, une ville, une histoire, Encyclopédie des mémoires d'Ongola Ewondo la ville aux mille collines, Yaoundé, Editions Asuzoa, 2016 (ISBN978-9956-687-02-2)
Alexandre Bopda, Yaoundé et le défi camerounais de l'intégration. À quoi sert une capitale d'Afrique tropicale ?, CNRS Editions, 2003, 421 p. (ISBN978-2271061096)
Martin Luther Djatcheu, « Fabriquer la ville avec les moyens du bord : L’habitat précaire à Yaoundé (Cameroun) », Géoconfluences, .
Jean-Emmanuel Pondi, (Re)découvrir Yaoundé ! : une fresque historique et diplomatique de la capitale camerounaise, Éditions Afric'Eveil, Yaoundé, 2012, 160 p. (ISBN978-995-674501-2)
Jean Patrick Mfoulou Olugu, Forme urbaine et mobilité durable à Yaoundé, Éditions universitaires européennes, Saarbrücken, 2016, 229 p. (ISBN978-3-659-55904-4)
Muriel Samé Ekobo, Marie Morelle (dir.), Yaoundé : promenades patrimoniales : catalogue des édifices remarquables de la capitale du Cameroun (réalisé par la fondation Paul Ango Ela), Ministère des arts et de la culture, Yaoundé, 2016, 127 p.
Yaoundé : promenades patrimoniales : catalogue des édifices remarquables de la capitale du Cameroun (réalisé par la fondation Paul Ango Ela), Yaoundé, Ministère des Arts et de la Culture, , 127 p.