À propos du Sacrement de la finitude, le poète David Cantin souligne la qualité de son écriture, notamment son « humour et [sa] justesse métaphorique »[7] ; « Tel un combat contre le cycle impardonnable des instants, la poésie discrète de Martin Gagnon bascule d'une vérité à l'autre[7].»
Son roman Les effetspervers, publié en 2000 chez Lanctôt, a connu une réception mitigée. Finaliste pour le prix Anne-Hébert en 2001[8], lequel est remporté par Maryse Barbance pour Toxiques, le livre est salué par Stanley Péan, Robert Lévesque, Danielle Laurin et Sylvain Houde, mais reçoit une critique beaucoup plus réservée de la part de Marie-Claude Fortin et Hélène Rioux[9].
Il enseigne la philosophie au Collège André-Grasset[2],[10].
Les effets pervers. Montréal, Le Quartanier, 2013 (1re éd., Outremont, Lanctôt, 2000; 2e édition, Le Quartanier, 2013) 147 p. (ISBN978-2-896980-78-9)
Épreuves terminales. Montréal, Éditions Les Heures bleues, 2020, 180 p. (ISBN978-2-924914-34-2)
Poésie
Toiles filantes. Montréal, Le Noroît, 1991, 77 p. (ISBN9782890182257)
La version du silence. Saint-Laurent, Bellarmin, 1996, 148 p. (ISBN9782890078123)
Initiales de l'éclair et de la dispersion. Montréal, Le Noroît, 1997, 59 p. (ISBN9782890183759)
Le Sacrement de la finitude. Montréal, Le Noroît, 2000, 54 p. (ISBN9782890184503)
Correspondances
Correspondances Martin Gagnon / Bertrand Laverdure. Moebius, Canada, 2002, (ISSN0225-1582), no 95, p.117-126.
Livres scolaires
Yong Chung, Martin Gagnon et Alain Bellemare. Genèse de la rationalité occidentale : de Thalès à Platon. Précis de logique, d'argumentation et de méthodologie avec corrigé. Montréal, Gaétan Morin, 1997, 71 p. (ISBN2-89105-671-X)