un frère cadet[12],[13] Gilles Bourdin (né à Paris vers 1515, mort le [14],[15]), chevalier, seigneur d'Assy et de Bougival, licencié en droit, lieutenant général des Eaux et Forêts de France[16],[11], avocat lai le puis clerc le au Parlement de Paris[17],[18],[19], commis avec Christophe de Thou et Barthélemy Faye pour rédiger les coutumes de Sens (par lettres datées de Saint-Germain-en-Laye le [20] mais il est remplacé dès le par Jacques Viole[21]), pourvu avocat général puis procureur général le [22], marié en 1548[23] à Isabeau Fuzée, fille de Guillaume Fuzée, procureur au Parlement de Paris. Une fois devenue veuve, celle-ci se remarie en 1581 sous le régime de la séparation des biens avec Scipion Brandano, gentilhomme d'Urbin[24].
Jacques Bourdin est reçu le [25], secrétaire des finances en survivance de Guillaume Bochetel. Il prête serment le [26].
En 1555, il devient seigneur de Villaines par le décès de son cousin Jean Brinon[27]. Le il fait hommage au roi entre les mains du garde des sceaux de la terre et seigneurie, haute basse et moyenne justice de Médan[1].
Le [1], il épouse Marie Bochetel, fille du secrétaire d'État aux Finances. Après sa mort, sa veuve se remarie par contrat du [29] avec Jacques de Morogues[30], seigneur des Landes et de Sauvage, secrétaire du Roi en survivance de son père (1550)[31], envoyé auprès de l'empereur par Catherine de Médicis (1566), chevalier de l'Ordre du Roi (1576), gouverneur de La Charité ([32]), gentilhomme ordinaire de la Chambre du duc d'Alençon, chambellan ordinaire de Henri IV (par lettres du )[33].
Nicolas Bourdin, reçu le conseiller notaire et secrétaire du roi[2], négociateur lors renouvellement de l'alliance avec les Suisses (1582), envoyé en qualité de résident du roi près de la république de Raguse (). Il épouse Marie Fayet, fille d'Antoine Fayet, trésorier de l'extraordinaire des guerres, et de Jeanne Bossy de Montyon
Jean Bourdin, sieur de Médan, seigneur d'Ellecourt, Cauberville et Saint-Tricot, mort sans avoir été marié[34] qui, à charge de reprendre le nom et les armes de Bourdin, lègue ses biens à Guy de Morogues son neveu, sieur de Beaulieu, d'Hercourt de Cobert et autres lieux, fils d'Alexandre de Morogues et de Louise de Monchy[35].
Armes sont d’azur à trois têtes de daim d’or deux et une[3].
↑Étude historique sur la marquis de Ragny et de Mont-Réal, connus sous Ieurs titres de Villeroy et de Lesdiguières, avec des documents inédits et curieux sur Lyon, Grenoble, etc, , 16 p. (lire en ligne), p. 6.
↑Pierre de L'Estoile et Gandouin, Journal des choses mémorables advenues durant le règne de Henry III, roy de France et de Pologne [Pierre de l'Estoile], , 676 p. (lire en ligne), p. 34.
↑Abraham Tessereau, Histoire chronologique de la Grande Chancelerie de France, , 916 p. (lire en ligne), p. 566.
↑François-Alexandre Aubert de La Chesnaye Des Bois, Dictionnaire de la noblesse, contenant les généalogies, l'histoire et la chronologie des familles nobles de France,...., , 512 p. (lire en ligne), p. 611.
↑Bulletin du bibliophile et du bibliothécaire, , 454 p. (lire en ligne), p. 16.