La région a été créée par le décret 404/PR/MAT/02[1] du sous le nom de Goz-Attor. Le décret 419/PR/MAT/02[2] du , qui abroge le précédent, la reprend sous l'appellation Hadjer-Lamis.
Elle correspond à une partie de l'ancienne préfecture du Chari-Baguirmi (1960-1999) : sous-préfectures de Bokoro et de Massakory, partie nord de la sous-préfecture rurale de N'Djamena.
Subdivisions
La région du Hadjer-Lamis est divisée en 3 départements :
Les groupes ethnico-linguistiques principaux sont les Medego (10,34 %), les Boulala plus (40,11 %), les Kouka (25,71 %), et des arabes (Assallé ) plus de (23,94%)
Économie
Vente de viande à griller à Pont-Bélilé.
L’économie de la région est basée essentiellement sur les productions agricoles et pastorales.
Administration
Représentation déconcentrée de l'État : gouvernorat du Hadjer-Lamis
L'État est représenté par un Gouverneur de région qui est un fonctionnaire. Il est secondé par un Secrétaire général.
Liste des administrateurs :
Préfets:
2003: Adoum Mannany Kharachi
Gouverneurs du Hadjer-Lamis (depuis 2002 à 2005 Oumarou Yerima djibrila
Haroun Saleh Al-edjini (en poste en a Aujourd'hui)
Collectivité territoriale décentralisée : région du Hadjer-Lamis
Les collectivités locales décentralisées, dont la région du Hadjer-Lamis, ont été créées par l'ordonnance 01/PR/2003[3] du . Elles n'ont pas encore été mises en place.
Liste des Présidents du Conseil régional du Hadjer-Lamis :
en attente de la mise en place effective des régions
Politique
Notes et références
↑Décret n° 404/PR/MAT/02 portant création des Régions du 3 octobre 2002
↑Décret n° 419/PR/MAT/02 portant création des Régions du 17 octobre 2002
↑Ordonnance n° 01/PR/2003 portant création des Collectivités territoriales décentralisés du 8 septembre 2003