Bernard, comte de Comminges, rend hommage-lige au roi de France, Louis VIII, contre les hérétiques et Raymond, comte de Toulouse, Août 1226. Archives nationales.
Fils du comte Bernard IV de Comminges et de sa seconde épouse, Comtors de Labarthe, le jeune Bernard est l'auxiliaire fidèle de son père dans la lutte contre les croisés au cours de la croisade des albigeois.
En septembre 1212, il est envoyé en Aragon auprès de Pierre II pour inciter le roi à apporter son aide au comte de Toulouse et aux seigneurs méridionaux dans leur lutte contre Simon de Montfort et les croisés[1].
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Martín Alvira Cabrer, Laurent Macé et Damian J. Smith, « Le temps de la Grande Couronne d’Aragon du roi Pierre le Catholique. À propos de deux documents relatifs à l’abbaye de Poblet (février et septembre 1213) », Annales du Midi tome 121, no 265, 2009, p. 9 et note 18 [lire en ligne].
↑Patrice Cabau, « Deux chroniques composées à Toulouse dans la seconde moitié du XIIIe siècle », Mémoires de la Société archéologique du Midi de la France, t. 56, 1996, p. 107, no 74. [lire en ligne].
Représentation littéraire de Raymond VII de Toulouse, Roger Bernard de Foix et Bernard V de Comminges dans la continuation anonyme de la Chanson de la croisade albigeoise.
Laurent Macé, « Sceau du miles conversus. Entre l’idéal cistercien et le modèle templier (seconde moitié du XIIe siècle) », dans Damien Carraz et Esther Dehoux, éditeurs, Images et ornements autour des ordres militaires au Moyen Âge : Culture visuelle et culte des saints (France, Espagne du Nord, Italie), Toulouse, Presses universitaires du Midi, coll. « Tempus », (ISBN978-2-8107-0874-1, lire en ligne), p. 127–141 et Cahier des illustrations, ill. 54.