Anthony B. North Peat (1829-1871) est un écrivain français.
Biographie
Anthony B. North Peat est né à Tours le [1], de père et mère anglais, naturalisé français[2]. Il étudie à Paris, au Lycée Impérial. Il meurt accidentellement à Paris le [3] pendant le siège de Paris[4].
Un mauvais quart d'heure, nouvelle, Marc Ducloux, 1856 lire en ligne sur Gallica
La Troisième Terre, comédie, Librairie nouvelle, 1859
Un amour sous enveloppe, comédie, Librairie nouvelle, 1859
Paris sous le Second Empire, journal d'un anglais à Paris (Gossip from Paris during the Second Empire. Correspondence (1864-1869) of Anthony B. North Peat, selected and arranged by Alfred Rayney Waller(en)), traduit par Ève Paul-Margueritte, 1903
« Singularités humoristiques et littéraires en Angleterre : Jonathan Swift », Revue Contemporaine,
« Singularités humoristiques et littéraires en Angleterre : Richard Steele », Revue Contemporaine,
« La révolte de l'Inde », Revue Contemporaine,
« Le royaume d'Aoude », Revue Contemporaine,
« Études critiques sur les revues anglaises », Revue Contemporaine, 1859
« Satan, son rôle dans la littérature anglaise et américaine », Revue Contemporaine, 1859
« La prédication populaire en Angleterre : le révérend C. H. Spurgeon », Revue Contemporaine, lire sur Google Livres
« La prédication populaire en Angleterre : les prédicateurs en plein vent », Revue Contemporaine, , p. 262 lire sur Google Livres
« La littérature des aliénés en Angleterre », Revue contemporaine, juin et [9],[10]
Singularités humoristiques et religieuses en Angleterre, Paris, Jules Hetzel éd. 1869
Critiques
« Sous le titre modeste et touchant de Consolations un petit livre vient de paraître qui a été pour nous, et sera pour le public, une surprise et une joie littéraire une surprise, car l'ouvrage est d'un étranger qui écrit notre langue comme s'il l'eût parlée dès son berceau; une joie, car l'inspiration est aussi pure, l'intérêt aussi vif et la morale aussi douce, que le style est excellent. L'auteur s'est formé tout jeune à la grande école humaine, à l'école de la douleur. Consol par l'intelligence et la foi, il enseigne aux autres à se consoler comme lui », Pitre-Chevalier, Le Musée des familles.